Une autre ville italienne annonce se débarrasser de MS Windows
La ville d’Udine (au nord-est de l’Italie) va migrer sa suite bureautique vers OpenOffice et va probablement se débarrasser de Microsoft y compris au niveau du système d’exploitation.
La ville d’Udine (au nord-est de l’Italie) va migrer sa suite bureautique vers OpenOffice et va probablement se débarrasser de Microsoft y compris au niveau du système d’exploitation.
Tournant le dos aux formats officiels de Microsoft Office, le gouvernement britannique a officiellement adopté le format Open Document (ODF) pour tous ses documents partagés. Cet article est une traduction personnelle d’une nouvelle parue sur le site ZDNet[1].
Que les sociétés privées se sentent libres de choisir la voie propriétaire en matière de politique informatique, c’est tout à fait acceptable. En revanche, un tel choix se révèle choquant et fort peu éthique pour l’État qui dépense l’argent du contribuable citoyen.
Contre vents et marées, l’exécutif de Munich s’est battu pour migrer son système informatique vers une solution complètement libre. Après 10 ans d’un projet fortement exposé et sujet aux attaques des lobbies représentant les éditeurs propriétaires, le résultat est tombé : c’est un succès.
Aux alentours du 20 octobre 2013, une nouvelle défrayait la chronique web: l’éditeur allemand SAP semblait arrêter purement et simplement sa solution « cloud » Business ByDesign, pour les petites et moyennes entreprises.
Le Fairphone débarque sur le marché avec un concept diamétralement opposé à ses concurrents. Une orientation privilégiant une industrialisation socialement et environnementalement responsable, sans compter une volonté d’ouverture et de liberté, que ce soit pour les applications embarquées que pour la conception matérielle.
La jeune entreprise lausannoise Why! Open Computing [1], fondée par l’ancien Conseiller d’État François Marthaler, se lance dans le marché des PC avec un concept aux antipodes de ses concurrents. En effet, Why! vend des PC spécifiquement sélectionnés pour leur longévité et pré-installés avec Linux [2].
Les logiciels libres développés et utilisés par l’État permettent l’économie de ressources pour le contribuable.